dimanche 19 décembre 2010

Souad Amidou

Souad Amidou
Souad Amidou, actrice franco-marocaine née en France, est la fille du célèbre acteur Hamidou Benmassoud.
Elle a joué dans un grand nombre de films et séries télévisées dont "Petit Con" de Gérard Lauzier en 1984, "Maladie d'amour" en 1987 ou encore "Lévy et Goliath" de Gérard Oury en 1987.
Elle passe derrière la caméra avec CAMILLE ET JAMILA (France-Maroc, 2009, 16min).
Comédienne, j'ai tourné mon premier film à l'âge de deux ans, sur les genoux de mon père, dans un court métrage en noir et blanc Un thé à la menthe. Puis je fus la fille d'Annouck Aimée dans Un Homme et une Femme de Claude Lelouch. Je n'ai donc pas vraiment choisi ce métier. C'est lui qui m'a choisie.
Puis il y a eu le temps de la formation, des écoles, et enfin des premières expériences professionnelles, qui m'ont conduite à une carrière au parcours éclectique.
Les oeuvres qui m'ont apporté beaucoup, tant professionnellement que personnellement sont :
Le Grand Frère, Francis GIROD, 1981, (nomination aux Césars)
P'tit con, Gérard LAUZIER, 1983
Lévy et Goliath, Gérard Oury, 1984
Le plus beau métier du monde gérard Lauzier 1997
En 2002, j'ai commencé à travailler en tant que metteur en scène pour le théâtre. Je monte une pièce chaque année. A mon actif :
Grasse Matinée, comédie de René de Obaldia, Comédie de la Passerelle.
Courteline en folie, pièces de Courteline, Centre Social de Paris 20ème.
Les Contes de la rue de Broca, Festival d'Avignon, Comédie de la Passerelle
Un Air de Famille, Agnès Jaoui et Jean Pierre Bacri, Confluences (Paris 20ème)
Chroniques de la Vie Parisienne de Début de Siècle, Confluences (Paris 20ème)
Joha et les Pommes de Ahmed Taëb el Alj, TGP St Denis
Les femmes Savantes, de Molière (à Paris et en tournée)
Baroufe à Chioggia de Goldoni (en montage)
Je fais du cinéma depuis environ vingt ans, d'une façon assez intensive. Aujourd'hui, si je me lance à mon tour dans cette aventure, c'est parce que je ressens l'envie de porter mon regard d'artiste sur la vie qui m'entoure, et aussi parce que je voue une passion immodérée aux acteurs. Source lemanager

Abdelmounaïm Dilami

Abdelmounaïm Dilami
Abdelmounaïm Dilami est un journaliste et patron de presse né en 1950.
M. Dilami a décroché une Doctorat d'Etat en droit public et sciences politiques de l'Université de Grenoble. Il est professeur de stratégie et de droit à l'Université Mohammed V de Rabat.

M. Dilami est PDG du groupe Eco-médias, un groupe de presse propriétaire du quotidien L'Economiste et de Assabah ainsi que la station de radio Atlantic.

Abdelmounaïm Dilami est président de la Fédération marocaine des éditeurs de presse et vice-président de l'Union internationale de la presse francophone. Par ailleurs, il préside l'Association des politologues africains et est observateur international des processus électoraux auprès de l'Organisation internationale de la francophonie. Source lemanager

Ali Baddou

Ali Baddou
Né le 28 février 1974 à Paris, Ali Baddou est fils de diplomates marocains. Il passe la majeure partie de son enfance entre plusieurs pays, notamment, la France, le Maroc et les États-Unis.
Ali Baddou effectue une partie de sa scolarité au Lycée Henri IV de Paris. Il poursuit ses études supérieures à la Sorbonne, d’où il ressort agrégé en Philosophie.
Son diplôme en poche, Ali Baddou opte pour une carrière dans l’enseignement. C’est à l’âge de vingt-trois ans qu’il commence à exercer dans le domaine. Il est affecté à un établissement de la banlieue parisienne de Saint-Denis et prend la place d’un collègue qui renonce au poste. Par la suite, il donnera des cours sur les enjeux politiques à Sciences Po.
En 2000, sur les recommandations d’une amie travaillant à l’Assemblée nationale, Anna Auchatraire, il intègre le cabinet de Jack Lang , qui occupe à cette époque le poste de Ministre de l’Éducation Nationale. Ali Baddou y travaille comme conseiller chargé des discours et des questions de discrimination positive.
Il apparaît dans l’univers médiatique en 2003, lorsqu’un ami, Nicolas Demorand , qu’il appelle son frère, l’invite à le remplacer à l’animation de l’émission Les Matins sur la radio France Culture pendant ses vacances. Une expérience qui lui plaît. La même année, il devient chroniqueur de l’émission de Marc Voinchet , Tout arrive, et à partir du mois de septembre, il devient producteur du programme hebdomadaire, Rendez-vous des politiques, sur la même station, avec le magazine L’Express comme partenaire.
Dans l’optique d’élargir son champ d’action, considérant l’animation comme une forme d’éducation distractive, Ali Baddou tente une expérience du côté de la télévision. Il prend part à des émissions comme Permis de penser, de Laure Adler sur la chaîne culturelle Arte. On peut aussi le retrouver comme chroniqueur du côté de Paris Première avec Michel Field dans Field devant le poste.
Au mois de décembre de l’année 2005, il effectue un retour dans son pays d’origine, et présente sur 2M, la chaîne marocaine, le premier Sidaction dans un pays arabo-musulman.
Cependant, Ali Baddou n’a jamais fait passer le métier d’animateur avant celui d’enseignant. Déjà, pour ce « bosseur » (paradoxalement, il se définit lui-même comme paresseux), l’enseignement reste le fil directeur de sa vie. Un réel problème de disponibilité horaire commence à se poser quand on lui propose de rejoindre l’équipe du Grand Journal sur Canal+ à partir de septembre 2007.
Cependant, s’il accepte cette proposition, il décline en juin 2008 l’animation de La Matinale sur la même chaîne, désirant se consacrer un peu plus au Grand Journal.
Très sollicité et très apprécié d’une part, il fait en même temps l’objet de nombreuses critiques sur ses réelles compétences; beaucoup associent sa réussite à la discrimination positive et à son amitié avec la famille Mitterrand. Il aurait eu en effet une relation amoureuse avec Mazarine Pingeot , la fille cachée du défunt président. Cependant, pour répondre à ses détracteurs, le journaliste répond : « Je ne dois rien à personne » et ajoute : « À la radio comme à la télévision, c’est le public qui vous suit et vous soutient. Chaque jour, il vous apporte la preuve que vous méritez votre place. C’est rassurant. » Source lemanager