samedi 18 décembre 2010

Abdeslam Ahizoune

Abdeslam Ahizoune
Abdeslam Ahizoune est né le 20 avril 1955, il est originaire du Moyen-Atlas. C'est un homme d'affaires marocain. Diplômé de Télécom Paris en 1977, il est actuellement président du directoire de Maroc Telecom, premier opérateur de télécommunications au Maroc.
Institut et Fondation
Il est membre du conseil d'administration de Institut royal de la culture amazighe (IRCAM)[1]. Il est membre de la Fondation Mohammed VI pour l’environnement depuis juin 2001, membre de la fondation Mohammed V pour la solidarité depuis avril 2004 et de l’association Lalla Salma pour la lutte contre le cancer depuis novembre 2005. Il est depuis novembre 2003, membre de l'université Al Akhawayn.
Maroc Telecom
Il a été directeur général de l'Office national des postes et télécommunications (ONPT). Il devient le PDG de Maroc Telecom de 1998 à 2001 lorsque celle-ci se divise en deux entités Barid al-Maghrib et Maroc Telecom. Depuis 2001, il est nommé Président du directoire. Il a accompagné cette entreprise publique vers sa privatisation partielle avec l’entrée du groupe Vivendi, puis a mené son introduction en bourse sur les places casablancaise et parisienne. Il est membre du directoire de Vivendi depuis 28 avril 2005. En 2008, il a été élu Président de l'Association marocaine des professionnels des telécoms (MATI).
Médias
Il a été PDG de Médi 1 Sat, première chaîne satellite d'informations du Maghreb. Il a été remplacé le 5 janvier 2010 pas Abbas Azzouzi. Sa mission a été de sauver la chaine de la faillite en redressant ses finances.
Politique
Il a été ministre des postes et des télécommunications du Gouvernement Mohammed Karim Lamrani 3 ainsi que dans le Gouvernement Abdellatif Filali.
Sport
Depuis décembre 2006, Il est Président de la Fédération Royale Marocaine d'Athlétisme (FRMA). Il l'a été à la demande de tous les pratiquants et dirigeants de cette discipline qui voyaient en lui le meilleur de sortir de la phase transitoire que vivait l'athlétisme depuis le départ du président Mohamed el-Médiouri en août 2000. Son enthousiasme s'est estompé dès le départ. "Il n'y a aucun système écrit ou de programme de gestion bien établi, rien de solide sur lequel se baser". "Il y a pléthore de clubs et de licenciés, qui tous réclament assistance, assurances et soutien matériel, mais quand on applique à ces clubs la rigueur d'une gestion transparente, on voit fondre les effectifs et on constate que beaucoup d'équipes n'existent ni sur le plan des compétitions et encore moins dans celui des performances." Source lemanager

0 commentaires: